Soustitre
«Libération» a enquêté pendant plusieurs mois sur le rôle joué par des sociétés de sécurité privées françaises engagées du côté de l'armée congolaise face aux rebelles du Mouvement du 23 mars. Des réseaux paramilitaires et affairistes pour qui la guerre est une opportunité financière comme une autre et vers lesquels Kinshasa se tourne pour trouver de nouveaux alliés et pallier son armée mal formée.