Résumé
Bagosora communique avec la GP, les bataillons paras-commando et de reconnaissance par un réseau talky walky spécial. Il ordonne à la GP et aux paras-commando de "commencer par un côté" et il réclame un bon butin. Le soir du 7, le comité de crise a refusé que les militaires prennent le pouvoir, sauf Bagosora. Il a refusé que Bagosora le préside. Ndindiliyimana a été choisi. Bagosora est parti et a formé un gouvernement avec des politiciens d'une seule mouvance. Le comité de crise s'est dissout après la formation du gouvernement. Les combats avaient repris déjà le 5/4/94 dans le Mutara. Il a été choisi comme CEM parce qu'il ne connaissait pas bien la situation et pour endosser la responsabilité des exécutions et exactions que d'autres exécutaient clandestinement suivant un plan établi. Les hauts officiers modérés ont fait un communiqué pour arrêter les massacres et négocier avec le FPR. Ndindilyimana n'en est pas rédacteur mais il a téléphoné de Gitarama pour dire qu'il était d'accord. Le colonel Rusatira est intervenu auprès de l'EM Gd pour que celui-ci assure la relève des Casques bleus à l'ETO Kicukiro