Soustitre
L'ancien secrétaire général d'Ibuka Europe, Alain Ngirinshuti, a profité de la commémoration parisienne du génocide des Tutsi, le 7 avril, pour exposer le refus de naturalisation qui lui a été opposé pour « manque de loyalisme envers la France et ses institutions » du fait de son appartenance à l'association de rescapés Ibuka. Il s'en explique à « Jeune Afrique »