Résumé
Le Président Habyarimana prévoit une nouvelle offensive du FPR pour le 7 ou 8 avril 1994. Il se plaint qu'à Arusha, le colonel Marley, observateur des États-Unis, propose que les rebelles soient intégrés dans l'armée à hauteur de 45 %, ce qui est inacceptable pour les FAR. Le président a confié à l'ambassadeur de France qu'il envisagerait de ne pas se représenter après la période de transition à condition que sa sécurité soit assurée et qu'il soit à l'abri de toute poursuite judiciaire. Il demande sur ce point l'appui et la garantie de la France.