Commentaire
Des militaires français entendent le matin du 27 des tirs de mortier et de mitrailleuse lourde dans la région de Gisovu contigue de Bisesero. Ils savent que des populations civiles sont réfugiées dans cette zone et sont attaquées avec des armes lourdes par des militaires rwandais. L'information est transmise à Paris au général Germanos, adjoint au chef d'état-major, chargé des opérations. Mais celui-ci laisse faire le massacre.