Commentaire
Cette information s'est révélée fausse : le 21 février 1993, Le Monde, journal réputé sérieux, publia le récit d'un massacre de plusieurs centaines de civils par le FPR, qui n'avait en réalité jamais eu lieu (cf. Aucun témoin ne doit survivre, p. 146). Le 3 mars 1993, le ministre de l'Information, Pascal Ndengejeho, demande à Ferdinand Nahimana, directeur de l'ORINFOR, de cesser de diffuser des propos provocateurs et de lui fournir des preuves des massacres de 500 personnes civiles au camp de déplacés de Rebero (M. Mas, p. 254).