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Au lendemain du génocide, certains rescapés se sont retrouvés absolument seuls, leurs familles décimées. Pour celles et ceux qui avaient alors déjà un certain âge, reconstruire une cellule familiale ou affective n'a pas toujours été possible. Trente ans plus tard, pour que les rescapés les plus âgés ne vieillissent pas dans le dénuement et la solitude, des maisons de retraites les accueillent. Avant le génocide, il n'y avait pas de maison de retraites au Rwanda. Le gouvernement en a construit quatre depuis 2016, appelées « Impinganzima ».